фото: Saint-Jouin-de-Marnes (Deux-S`evres)

Описание: Saint-Jouin-de-Marnes (Deux-S`evres) Commune de Plaine-et-Vall'ees Abbaye Saint-Jouin. Le chevet. Le chevet est d'ecor'e d'arcatures sculpt'ees. Fond'ee au IVe si`ecle, elle fut reconstruite entre 1095 et 1130, puis fortifi'ee au XIVe si`ecle. Ce fut une abbaye opulente durant le Moyen ^Age. L''eglise abbatiale est l'un des signes de cette prosp'erit'e, elle fut construite sous l'impulsion du moine Raoul qui devint abb'e aux environs de 1100. Chef-d’oeuvre de l’art roman poitevin aux dimensions exceptionnelles, elle appartenait `a un ensemble grandiose dont il subsiste notamment la galerie sud du clo^itre gothique et le b^atiment conventuel du XVIIe si`ecle. L'abbaye romane 'etait `a l'origine un ermitage o`u v'ecut Jovinus (saint Jouin). Jovinus serait originaire de Mouterre Silly* dans la Vienne. Le bourg gallo-romain de Silly (Sigiliacum ou Siliacum) serait le lieu de naissance de Maximin de Tr`eves (mort le 12 septembre 346) qui 'etait un des fr`eres de Jovinus et qui deviendra 'ev`eque de Tr`eves (Land de Rh'enanie)**. Jovinus, le plus jeune des trois fr`eres (il avait 3 fr`eres et une soeur), se retira pour vivre en ermite dans un lieu appel'e Ension, pr`es de Loudun, au milieu des marais de la Dive***. L'endroit 'etait plut^ot hostile, mais travers'e par une voie romaine allant de Poitiers `a Angers et Nantes, connue sous le nom de chemin de Saint-Hilaire (qui en est une partie). Rejoint par des disciples, Jovinus y fonda un monast`ere vers 342. En 507, Clovis****, le premier roi chr'etien, `a la bataille de Vouill'e, pr`es de Poitiers, soumet les Wisigoths qui s'evissaient dans la r'egion (le roi des Wisigoths Alaric II y est tu'e), et pu r'eunir l'Aquitaine aux possessions franques. Au cours du VIIe si`ecle, Martin de Vertou est nomm'e archidiacre par l'archev^eque de Nantes, F'elix. Il est charg'e d''evang'eliser la r'egion nantaise et le Poitou. Sa mission l'am`ene `a Ension o`u la vie communautaire est d'ej`a bien r'egl'ee - les religieux y suivent la r`egle des asc`etes de l'Orient - , et y impose la r`egle de Saint-Beno^it comme mod`ele de vie communautaire. Il est possible que saint Martin de Vertou fut lui-m^eme abb'e d'Ension. Durant les guerres du roi franc P'epin contre le duc d'Aquitaine (Wa"ifre?), au VIIIe si`ecle, l'abbaye eut beaucoup `a souffrir et la discipline se rel^acha. D'ecadence monastique que l'on retrouve `a Saint-Martin-de-Tours et `a saint-Hilaire-de-Poitiers. Les moines finissent par abandonner leur r`egle pour suivre celle des chanoines. "Tout en usant du clo^itre et du r'efectoire commun, chacun avait obtenu le droit de propri'et'e, son patrimoine et la jouissance des b'en'efices eccl'esiastiques. La r`egle des chanoines r'eguliers ne les obligeait pas `a la r'esidence perp'etuelle, ni `a l'abstinence des viandes, ni `a des je^unes aussi fr'equents, ni enfin `a la pauvret'e volontaire" ( L'Abbaye d'Ension ou de Saint-Join-De-Marne / Abb'e A. Lerosay - 1915). Cette transformation de la vie monastique d'Ension dut subsister pr`es d'un si`ecle. Dans le deuxi`eme quart du IX `eme les Vikings d'ebarquent sur nos c^otes, obligeant maints monast`eres `a fuir devant eux. Le monast`ere de Saint-Jouin-de-Marnes fut 'epargn'e car il se trouvait 'eloign'ee des rivi`eres navigables et devint ainsi un refuge pour les moines chass'es de leur monast`ere par les Normands. Les moines de Saint-Martin-de-Vertou abandonnent ainsi leur monast`ere en juin 843, en emportant avec eux le corps de leur illustre fondateur, pour se r'efugier `a Ension. Les chanoines d'Ension 'etaient alors gouvern'es par un pr'ev^ot nomm'e Fulrade. Lorsqu'ils virent arriver les moines de Vertou, conduits par leur abb'e Rainaldus, r'eclamant l'hospitalit'e, les chanoines de Saint-Jouin, craignant que les moines de Saint-Martin ne leur imposent le retour `a l'ancienne r`egle de Saint-Beno^it, refus`erent de les recevoir. Les moines de Vertou implor`erent le recours du roi d'Aquitaine P'epin II qui accepta la requ^ete. Il ordonna que le monast`ere d'Ension soit remis entre les mains des moines de Saint-Martin de Vertou et que les chanoines qui l'occupaient reprennent la vie monastique r'eguli`ere, et que ceux qui refuseraient seraient chass'es. Il envoya au comte de Poitou un mandement de mettre cet ordre `a ex'ecution. Apr`es avoir install'e les moines de vertou `a Ension, Rainaldus entama la r'eforme religieuse de l'abbaye, en y r'eaffirmant la r`egle de saint Beno^it qui 'etait tomb'ee en d'esu'etude, et entreprit la restauration des constructions. L''eglise primitive, d'edi'ee `a saint Jean l''evang'eliste, est 'elev'ee sur l'emplacement actuel en 878. Beaucoup de r'efugi'es apport`erent `a Ension de pr'ecieuses reliques, ce qui fit de Saint-Jouin une destination pris'ee par de nombreux p`elerins, les p'elerins faisant la prosp'erit'e de l'abbaye qui devint l'une des plus puissantes du Poitou. L'ancienne 'eglise carolingienne ne pouvant accueillir le flux grandissant des p'elerins, un nouvel 'edifice fut construit `a la fin du XIe si`ecle et pendant les premi`eres d'ecennies du XIIe. A la fin du XIIe si`ecle, les moines de Saint-Jouin plac`erent `a leur t^ete, un moine qui jouissait alors d'une tr`es grande r'eputation de saintet'e, Raoul de la Fustaye (n'e `a la Futaie, en mayenne). Celui-ci posa la premi`ere pierre de l''eglise abbatiale actuelle en 1095. La construction sera achev'ee 35 ans plus tard*****. En 1337, alors que l'abbaye de Saint-Jouin est sous l'administration de l'abb'e Guillaume Chabot, commence la Guerre de cent ans qui devait durer jusque 1453. En 1356 la r'egion tombe aux mains des Anglais******. Pendant la p'eriode de 1369 `a 1374, les garnisons anglaises et francaises couraient et pillaient la r'egion. Durant cette p'eriode, les moines de Saint-Jouin r'esolurent de fortifier leur abbaye pour se mettre `a l'abri des surprises des gens de guerre. Le territoire est repris par Bertran Duguesclin, le « Dogue noir de Broc'eliande », apr`es la victoire de Chiz'e (Deux-S`evres), le 21 mars 1373. La victoire des Francais et des Bretons sur les Anglais met fin `a la domination anglaise sur le Poitou. En 1447, l'abbaye de Saint-Jouin est restaur'ee. Dans la seconde moiti'e du XVe si`ecle, les victoires de Charles VII ayant ramen'e la paix et la s'ecurit'e, l'abb'e de Saint-Jouin, Bernard de F'eletz, ne songea pas seulement `a l'abbaye, mais voulut aussi rendre au bourg la prosp'erit'e, que les malheurs du d'ebut du r`egne de Charles VII avaient mis `a mal. Il obtint du roi, le 12 novembre 1450, la cr'eation d 'un marche tous les samedis, et de deux foires, une le 1er juin `a la f^ete de saint Jouin, et une autre le 24 octobre, `a f^ete de saint Martin de Vertou. Le m^eme abb'e obtint encore du roi, le 22 mars 1458, deux nouvelles foires, le 22 ao^ut, octave de Notre-Dame (les huit jours apr`es la f^ete religieuse) , et le 24 f'evrier, f^ete de saint Mathias. En 1476, Pierre III d'Amboise, futur 'ev^eque de Poitiers, fait reconstruire le monast`ere et le clo^itre du XIIe si`ecle (dont il ne reste aujourd'hui que la galerie sud). Pierre III d'Amboise, envoy'e tr`es jeune `a l'abbaye Saint-Jouin de Marnes, en devient l'abb'e en 1467 (il a 17 ans)*******. Il sera nomm'e 'ev^eque de Poitiers par Louis XI en 1481, puis deviendra conseiller de Charles VIII. Pierre III d'Amboise dont le mot 'etait "Toute diversit'e patience" (comme en t'emoignent les carreaux du pavement de son ch^ateau 'episcopal de Dissay), disposant des revenus de son riche dioc`ese, des abbayes de Saint-Jouin-de-Marnes, de Saint-Laon de Thouars, de Lyre (dans l'Eure), de Ferri`eres, et des prieur'es de Rouvres et Parthenay-le-Vieux, fut extr`emement riche, ce qui lui permis d'^etre un grand m'ec`ene. On lui attribue la cinqui`eme chapelle construite sur le collat'eral nord de l’'eglise Notre-Dame-la-Grande de Poitiers. Les guerres de religion (1562-1598) ram`enent les d'esordres et les pillages. Le 28 f'evrier 1568, une troupe protestante d'une centaine de cavaliers, en route pour la bataille de Moncontour, fait irruption `a Saint-Jouin-de-Marnes. Elle pilla l''eglise, le palais abbatial, la "segretain'erie" (ou secretainerie : sacristie), les autels, les ornements, les statues. L'abb'e A. Lerosay signale dans les M'emoires de D. Fonteneau le compte rendu d'une enqu^ete faite le 29 d'ecembre 1594 sur ces brigandages : « Mia^itre Jean Butaut, chirurgien, demeurant au bourg de Saint-Jouin-de-Marnes, ^ag'e de soixante ans environ, t'emoin y produit, recu fait serment de dire et d'eposer v'erit'e. Avant vingt ans environ, un peu auparavant la bataille de Moncontour feust br^ul'ee par les huguenots qui lors estoient au dit bourg de Saint-Jouin, et que non seulement l''eglize feust br^ul'ee, mais la maison abbatiale et maison de la segretainerie du dit lieu furent enti`erement ruyn'ees tant par le feu que par les dits huguenots, tant tous les papiers et enseignements de ladite abbaye furent partie consommes par le feu et partie `a l'abandon, `a qui en voulait prendre, voire tra^iner par les rhues, qui estoit chose pitoyable `a voir "le d'esordre qui y estoit en ce moment et en la maison du dit segretain, ce que le d'eposant scait l'avoir vu et estait la multitude des dits huguenots telle que les pauvres habitants quand ils eussent voulu conserver aucuns des dits papiers, ou aul'tre chose die ladite abbaye, ils ne J'eussent os'e faire, et 'bien savoir qu'e le dit Ozeron `a cause de son dit office de segretain ». « Semelle Mesnard, marchand demeurant au bourg de Saint-Jouin-de-Marnes, ^ag'e de soixante ans environ, dit qu'il a souvenance que, un an auparavant la bataille de Moncontour... qu'il fust fait ruine `a l'abbaye de Saint-Jouin-de-Marnes, par les huguenots qui estaient au dit lieu, et que au dit temps il fut fait un grand d'esordre par les dits huguenots, soit aux v^etements de l''eglise et des religieux qui furent transport'es et la plupart consomm'es, soit les livres et enseignements de la dite 'eglise que l'on bruslait et dit bien savoir que la maison du dit segretain fut brusl'ee... » . Le r'egime de la commende conduisait les monast`eres `a la d'esorganisation, au laxisme et `a la ruine. Un m'emoire, pr'esent'e au SaintSi`ege sur l'initiative royale, constatait la d'ecadence g'en'erale des anciens ordres religieux. Le 17 mai 1621, le pape Gr'egoire XV promulgua la bulle d’'erection d'une nouvelle congr'egation b'en'edictine plac'ee sous le patronage de saint Maur, premier disciple de saint Beno^it et, selon la tradition, introducteur de sa r`egle en Gaule. Cette nouvelle congr'egation pr'etendait revenir `a un r'egime monastique strict et `a l’accomplissement fid`ele de la vie b'en'edictine. Le 8 avril 1622, le pape Gr'egoire XV demande au cardinal Francois de La Rochefoucauld de superviser la r'eforme des Ordres religieux en France. La plupart des monast`eres b'en'edictins de France, `a l’exception de ceux qui appartenaient `a Cluny, rejoignirent peu `a peu la nouvelle congr'egation, qui atteindra son apog'ee dans les ann'ees 1690-1700 avec 190 monast`eres. Le 28 septembre 1655, le monast`ere de Saint-Jouin adopte la r'eforme de Saint-Maur, r'eforme apport'ee par l''ev^eque de Bayeux, Francois Servien, nomm'e abb'e en 1646. Francois Servien fera r'eparer ou reconstruire les b^atiments. A sa mort en 1659, son neveu Augustin Servien, lui succ'edera. Une p'eriode florissante s’ouvre pour l’abbaye, jusqu’au d'ebut du XVIIIeme si`ecle, o`u s’amorce un d'eclin de la vie monastique. En 1755, l'ancien b^atiment du couvent a 'et'e d'etruit et un nouveau a 'et'e construit. Le nombre des religieux s''etant notablement abaiss'e, un couvent aux proportions plus restreintes s'imposait. Le 16 juin 1765, un grand scandale affligeait les fid`eles : Tous les religieux de Saint-Germain-des-Pr'e `a Paris (31), sauf trois, osaient pr'esenter `a Louis XV une requ^ete dans laquelle ils demandaient des modifications dans leur habit, la suppression de l'Office de nuit et de l'abstinence de viande, et d'autres arrangements pour l''election des sup'erieurs et la stabilit'e des religieux. On demandait `a tous les moines de la Congr'egation de Saint-Maur de donner leur adh'esion. Les religieux de Saint-Jouin recurent, comme leurs coll`egues de la Congr'egation de Saint-Maur, la requ^ete, elle leur avait 'et'e adress'ee le 28 juin, dans le but de faire modifier les r`egles de l'Institution. Cette r'eforme n'avait pas l'approbation des sup'erieurs, ceuxci, au contraire, donn`erent l'ordre, dans toutes leurs maisons, de protester contre la requ^ete. Les vingt-huit protestataires, bl^am'es par l'archev^eque de Paris, remirent entre ses mains une formule de r'etractation, mais un vent de libert'e soufflait 24 ans avant la prise de la Bastille. Les partisans de la requ^ete du 15 juillet obtinrent quand m^eme le r'etablissement d'un Bureau de litt'erature ayant pour but de faire refleurir les 'etudes dans l'ordre. En 1768, Saint-Jouin-de-Marnes ne compte plus que neuf religieux. En 1770, la mense abbatiale******** fut unie au chapitre de Saint-Florentin d'Amboise, et Saint-Jouin, avec ses d'ependances, fut adjug'e aux chanoines d'Amboise. Le 9 novembre de la m^eme ann'ee, l'abb'e de Saint-Jouin-Marnes, M. de Chauvelin, d'emissionne, c'est le dernier abb'e de Saint-Jouin. La R'evolution francaise de 1789 met fin `a la vie monastique. L'abbaye est vendue par ordre de l''Etat, l''eglise est rendue au culte en 1795. Durant la R'evolution francaise de 1789, l'abbaye est officiellement ferm'ee et le b^atiment d'abbaye vendu comme bien national, en partie pour la d'emolition. Heureusement, l''eglise, elle, est 'epargn'ee... * Mouterre-Silly serait compos'e de deux hameaux gallo-romains distant de 700 m`etres. ** Le pr'ed'ecesseur de Maximin, Agrice de Tr`eves (Agricius ou Agrippinus 327-335), 'etait 'egalement poitevin et sans doute connu des parents de Maximin. Tr`eves 'etait devenue l'une des capitale de la T'etrarchie au IIIe si`ecle. En 297, Lyon (Lugdunum) perd son rang de capitale des Gaules au profit de Tr`eves, il n'est donc pas 'etonnant que la certainement tr`es patricienne famille de Maximin recommanda ce dernier `a Agrice. *** D'o`u le nom de Saint-Jouin-de-Marnes. Du nom du fondateur et de la proximit'e des marais. **** Apr`es avoir soumis les Alamans en 506, Les Wisigoths en 507, Clovis est port'e en triomphe `a Tours en 508 lors d'une visite au tombeau de saint Martin, il transf`ere alors la capitale du royaume des Francs `a Paris. Il prend sa r'esidence au palais des Thermes sur l’^Ile-de-la-Cit'e et y meurt quelques ann'ees plus tard en 511. Le royaume des Francs s''etend alors du Rhin aux Pyr'en'ees. ***** Raoul de la Futaie en 1095 'etait un simple moine, il deviendra abb'e de Saint-Jouin vers 1113. En 1095, l'abbaye 'etait probablement dirig'ee par Brixius (Brice), cet abb'e assista, le 7 d'ecembre 1099, `a la d'edicace solennelle de Saint-Nicolas de la Chaise-le-Vicomte fond'ee par les vicomtes de Thouars. Aimery IV, vicomte de Thouars avait accompagn'e le duc de Normandie Guillaume (futur Guillaume le Conqu'erant) `a la conqu^ete de l'Angleterre, en 1066. Le deuxi`eme corps de l'arm'ee exp'editionnaire, qui d'ecida de la victoire, compos'e de Poitevins, de Bretons et d'Angevins, avait 'et'e plac'e sous le commandement d'Aimery de Thouars. Ce vicomte, en sa qualit'e de chef de corps, avait une part de butin consid'erable. Il est fort probable que l'entreprise de construction de la vaste basilique, initi'ee par le moine Raoul, n'aurait pu ^etre men'ee `a terme sans la participation des vicomtes de Thouars, g'en'erosit'e rendue possible par la d'efaite anglaise. ****** Le 19 septembre 1356, c'est la bataille de Poitiers. Elle oppose l'arm'ee anglo-gasconne d''Edouard III, prince de Galles dit le Prince Noir `a cause de la couleur de son armure, h'eritier de la couronne d'Angleterre et l'arm'ee francaise du roi Jean II le Bon. C'est une victoire d'ecisive du Prince Noir contre une arm'ee francaise trois fois plus nombreuse. Le roi Jean et son fils Philippe sont captur'es. Les cons'equence pour le royaume de France sont d'esastreuses. La noblesse francais, apr`es Cr'ecy (1346), est d'ecim'ee pour la deuxi`eme fois en une d'ecennie. ******* Le pape Sixte IV, conf'era la commende de Saint-Jouin `a Pierre III d'Amboise lors de son 'election comme 'ev^eque de Poitiers en 1481. R'egime qu'il inaugura dans cette abbaye. Il conservait ainsi le b'en'efice de l'abbaye, bien que n'y 'etant plus abb'e. Il mourut `a Blois le 1er septembre 1505 et fut enseveli au ch^ateau de Dissay, r'esidence des 'ev^eques de Poitiers. ******** Mense abbatiale, revenu qui 'etait la part de l'abb'e, par opposition `a la mense conventuelle, qui 'etait la part des religieux. fr.wikipedia.org/wiki/Abbaye_Saint-Jouin_de_Marnes nominis.cef.fr/contenus/saint/10925/Saint-Jouin.html www.abbatiale-saintjouin-de-marnes.fr/lhistoire/ gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k668167 base-armma.edel.univ-poitiers.fr/monument/saint-jouin-de-... donum.uliege.be/handle/2268.1/8132 La r`egle de Saint Beno^it : saint-hilaire-aude.fr/abbaye/la-regle-de-saint-benoit#:~:....

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